14 octobre 2007
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Voici la suite du mon compte-rendu sur mon séminaire en Corse.
Ce qu'il y a de bien dans les voyages c'est que l'on peut rencontrer des personnes et lorsque ces personnes appartiennent au cercle des poétes d'Over-blog, c'est encore mieux.
Ainsi j'ai pu prendre contact avec Jean-Baptiste du blog "Les chants d'Aïmalun" aimalun.over-blog.com/
Jean-Bapiste est un vrai Corse de Bastia, ville où nous sommes rencontrés, et il en a l'accent si particulier qui chante à nos oreilles. Il posséde également cette gentillesse que j'ai trouvée chez les habitants de cette île entre ciel et mer.
Il m'a proposé de partir à la découverte du Cap Corse, lui étant au volant de son véhicule (c'était préférable, vous allez voir pourquoi) et moi je tenais la place de co-pilote.
Alors en avant sur la route de montagne !
La route est très sinueuse et il convient d'être d'une grande prudence. Jean-Baptiste domine son sujet en tenant le volant. C'est rassurant vu que le parapet semble bien léger et que juste derrière c'est la pente menant à la mer.
Pour mieux vous en rendre compte voici une vue de la route coincée entre montagne et mer. Sur le bord, une tour Génoise qui permettait de repérer l'arrivée des barbaresques et de donner l'alerte. Ces tours sont réparties tout le long du littoral. Bleu de la mer, vert du maquis et ton crayeux de la falaise, c'est féérique.
La côte, travaillée par une invisible dentelière, est d'une incroyable beauté sauvage. Le maquis s'accroche à la roche pour y apporter ses tons si particuliers.
Le revêtement de la route est bon, seule la sinuosité demande une grande attention, heureusement le parapet prend une allure plus protectrice. Jean-Baptiste conduit comme sur une route de Beauce, il est dans son élément.
On peut aperçevoir, à flanc de montagne, la trace de la route que nous venons de parcourir. Gloire à nos anciens d'avoir tracé cette voie dans des conditions si difficiles. On ne peut qu'être admiratif sur la beauté de ces paysages.
Je vous parlais de la gentillesse des Corses, eh bien même leurs arbres sont bien éduqués : ils s'enclinent au passage des voyageurs.
Miracle du soleil sur la roche. Tout n'est qu'harmonie de couleurs. La montagne devient El Dorado pour m'emporter dans des pensées lointaines.
Et c'est sans problème que nous avons rejoint Bastia sur le soir. Jean-Baptiste m'a montré un nouvel aspect de son univers, une région rocailleuse et sauvage, d'une grande beauté contrastant avec les autres parties de l'île.
Merci à toi camarade poéte et n'oublie pas que je t'attends sur les bords de la Loire pour te faire visiter la vallée des rois.
Ce qu'il y a de bien dans les voyages c'est que l'on peut rencontrer des personnes et lorsque ces personnes appartiennent au cercle des poétes d'Over-blog, c'est encore mieux.
Ainsi j'ai pu prendre contact avec Jean-Baptiste du blog "Les chants d'Aïmalun" aimalun.over-blog.com/
Jean-Bapiste est un vrai Corse de Bastia, ville où nous sommes rencontrés, et il en a l'accent si particulier qui chante à nos oreilles. Il posséde également cette gentillesse que j'ai trouvée chez les habitants de cette île entre ciel et mer.
Il m'a proposé de partir à la découverte du Cap Corse, lui étant au volant de son véhicule (c'était préférable, vous allez voir pourquoi) et moi je tenais la place de co-pilote.
Alors en avant sur la route de montagne !
La route est très sinueuse et il convient d'être d'une grande prudence. Jean-Baptiste domine son sujet en tenant le volant. C'est rassurant vu que le parapet semble bien léger et que juste derrière c'est la pente menant à la mer.
Pour mieux vous en rendre compte voici une vue de la route coincée entre montagne et mer. Sur le bord, une tour Génoise qui permettait de repérer l'arrivée des barbaresques et de donner l'alerte. Ces tours sont réparties tout le long du littoral. Bleu de la mer, vert du maquis et ton crayeux de la falaise, c'est féérique.
La côte, travaillée par une invisible dentelière, est d'une incroyable beauté sauvage. Le maquis s'accroche à la roche pour y apporter ses tons si particuliers.
Le revêtement de la route est bon, seule la sinuosité demande une grande attention, heureusement le parapet prend une allure plus protectrice. Jean-Baptiste conduit comme sur une route de Beauce, il est dans son élément.
On peut aperçevoir, à flanc de montagne, la trace de la route que nous venons de parcourir. Gloire à nos anciens d'avoir tracé cette voie dans des conditions si difficiles. On ne peut qu'être admiratif sur la beauté de ces paysages.
Je vous parlais de la gentillesse des Corses, eh bien même leurs arbres sont bien éduqués : ils s'enclinent au passage des voyageurs.
Miracle du soleil sur la roche. Tout n'est qu'harmonie de couleurs. La montagne devient El Dorado pour m'emporter dans des pensées lointaines.
Et c'est sans problème que nous avons rejoint Bastia sur le soir. Jean-Baptiste m'a montré un nouvel aspect de son univers, une région rocailleuse et sauvage, d'une grande beauté contrastant avec les autres parties de l'île.
Merci à toi camarade poéte et n'oublie pas que je t'attends sur les bords de la Loire pour te faire visiter la vallée des rois.